nom complet : Marloes "Gigi" Richards ✜ âge : 23 ans. ✜ date et lieu de naissance : Vingt-deux mars à New-York City, New York. ✜ nationalité et origines : Américaines. ✜ profession/études : Etudiante en médecine. ✜ statut civil : En couple, peut-être plus pour longtemps d'ailleurs. ✜ situation financière : Bonne mais Marloes prétend venir du Queens. ✜ groupe : MANHATTAN. ✜ avatar : elizabeth olsen, the best.
+ HE LOVES ME WITH EVERY BEAT OF HIS COCAINE HEART.Marloes se ronge les ongles et autant dire que depuis qu'elle est en couple, il lui ait dur de se faire une manucure correcte... Elle gueule souvent contre son vernis au goût amer, censé lui enlever son tic, quand elle oublie qu'elle le porte et qu'un de ses ongles atteint malheureusement sa bouche. + Elle déteste recevoir des coups de fils de sa mère et encore plus parler "amour" avec elle. + Marloes fume parfois, mais très rarement. Ca a commencé quand elle essayait d'intéresser Ruben, maintenant, elle continue parfois, quand elle est stressée de le voir. + Tous les matins, elle lit son horoscope de la veille pour voir si effectivement, il s'est réalisé. Elle a cette folle idée de prouver à sa mère que oui, l'astrologie est une science exacte. + Pour consulter ses messages il faut passer au moins trois codes. Codes qu'elle s'applique à changer tous les mois. + Elle se lèche souvent le bout des doigts pour enlever les saletés. + Il arrive souvent à Marloes de s'approcher un peu trop près de la chevelure des personnes qu'elle rencontre, histoire de voir si leurs cheveux sentent bon. + Quand elle range, elle n'écoute que de la musique classique. + En soirée, elle mélange toutes sortes d'alcool pour faire genre elle sait faire des cocktails. C'est jamais bon mais elle les boit toujours, par fierté.
AFFECTUEUSE, MENTEUSE, SPONTANÉE, MALHONNÊTE, SPORTIVE, ANXIEUSE, LOGIQUE, IMPULSIVE.
01. Depuis quand vivez-vous à New-York ? Depuis toujours, je suis née ici et serai enterrée dans la Grosse Pomme.
02. Que vous inspire cette ville ? Quand je suis de mauvaise humeur, ce qui est souvent, cette ville m'inspire un grand stress. Les gens qui vont vite -trop vite-, les papiers au sol, les klaxons .. Mais quand tout va bien, je dirai qu'il n'y a pas de plus bel endroit au monde qu'ici. Les petits cafés, la junk-food, des gens zarbis, des vendeurs de faux Gucci, on trouve de tout dans cette ville.
03. Comptez-vous y rester pour longtemps ? Je pense bien que oui. Je ne suis pas contre une année en Europe par contre.
04. Quel est votre endroit préféré dans New York ? Un endroit préféré ? si seulement je n'en avais qu'un. Je dirais le sommet de l'Empire State Building, comme pour beaucoup de new-yorkais je pense. C'est souvent bondé, mais bon dieu que la vue est belle à vous couper le souffle.
+ AND MY LIFE IS SWEET LIKE VANILLA IS.Un mercredi comme un autre. Rentrer chez elle, prendre ses affaires, passer voir sa mère et ses préparatifs pour la soirée dansante, passer dans le Queens dans la maison de mamie pour y déposer ce qu’elle avait pris plus tôt et enfin, rejoindre Ruben. Cela faisait maintenant un moment que cela était devenu sa routine, du moins les mercredis. Six longs mois qu’elle sortait avec et qu’elle s’appliquait à mieux échafauder chacun de ses mensonges.
Son premier appartement se situait dans le quartier de TriBeCa. Alors qu’elle était la voisine de De Niro et Beyoncé, sa mère lui avait vivement conseillé de déménager et de venir s’installer du côté de l’Upper East Side.
Ma mère… Une sangsue. Sa mère était une vraie sangsue. Chaque décision que Marloes avait le malheur de prendre, elle les reprenait comme si, bien que celles-ci se soient déjà passées, elle pourrait encore les changer. De toute façon, il ne valait mieux pas insister, Marloes le savait. Elle avait donc cédé à un petit appartement dans un immeuble avec portier du « bon côté » de l’île. Ses parents payaient le loyer, et encore heureux, elle n’y passait pratiquement jamais. Son portier était toujours étonné de la voir, la gratifiant toujours d’un
« oh, bonjour Mlle Richards, qu’est-ce qui vous amène aujourd’hui ? ». Si il y avait bien une personne au courant de sa double-vie, c’était lui. Elle ne disait mot, le regardait, et comme si il comprenait qu’elle n’avait nulle intention de lui répondre, il détournait le regard et retournait à son poste. Elle était née dans « ce monde » et savait bien qu’elle n’était en aucun cas obligée de répondre aux employés. Dans son appartement elle y trouva son frère, affalé sur le canapé aux bras d’une blonde portant une de ses robes. Elle ne dit rien, habituée de voir son frère ramenait ses plans d’un soir chez elle. Des frères et sœurs, oui elle en a. Ils ne sont pas tous comme elle d’ailleurs. Eux, ce monde, ils l’adorent, en sont des adeptes, des pures enfants de l’Upper East Side. Marloes, elle, s’en fiche un peu. L’Upper East Side a ses bons et ses mauvais côtés et elle a apprit à vivre en essayant d’apprécier les deux. Jeune déjà, elle aspirait à autre chose qu’aux brunchs de maman, et aux réunions de papa.
Dans sa chambre, elle se saisit du sac qu’elle avait préparé la veille. Dedans, des t-shirts, des jeans, quelques hauts sympas, une jupe mais c’est tout, pas de belles robes de cocktails, là-bas elle n’en aurait pas l’utilité. D’un pas pressé, elle repasse devant son frère qui ne la regarde même pas, la tête fourrée dans la chevelure blonde de sa conquête. Elle soupire, monte dans un taxi.
« Le Queens s’il vous plait »Le taxi s’arrêta devant une maison du Queens, sa « demeure ». Après avoir payé, Marloes gravit les marches une à une. Une vieille voisine lui fit bonjour de la main, elle agita la sienne à son tour. Ici, les gens l’appelaient Gigi. C’était commun, tout le monde dans sa rue avait un petit surnom. Pour des raisons amicales tout d’abord mais aussi légales, si quelque chose se passer, personne ne connaitrait le nom de personne, car oui, devant un tribunal « Kiki » ou « Gingerbread » ça ne tient pas. Marloes avait un peu honte, elle se sentait comme une actrice, mais une actrice qui ne voudrait pas en être une. Ici, dans le Queens, elle était comme en une improvisation, sauf que celle-ci ne se termine pas. La vieille maison sent bon, du moins, elle sent meilleur qu’il y a six mois. Quand elle y était rentrée alors, une odeur de renfermé s’était imprégnée partout, dans les coussins, dans n’importe quelles tissues. C’est d’ailleurs ce jour-là qu’elle a rencontré Ruben, habitant du quartier. Marloes, elle, ne faisait que remballer et ranger la maison après le décés de sa grand-mère. Seuls les enfants Richards s’entendaient avec cette vieille bonne femme. Leur père encore, envoyait des lettres, mais leur mère ne voulait plus entendre parler de sa mère. Les conflits mère/fille sont de famille se dit souvent Marloes. Le couple Richards l’avait donc laissé vieillir et mourir dans cette petite maison. Il était passé devant la maison, la voyant peiner avec les cartons.
« Un coup de main ? » et la discussion était lancée. Ils ne parlèrent de pas grand-chose, si ce n’est des études. Ruben est étudiant, quand il daigne aller en cours au lieu d’envoyer ses scribs à sa place, et pose pour quelques photographes pour payer son loyer. Une photo de sa grand-mère devant Central Park à la main, Marloes sourit, alors que lui, soupire et avec un air aigris se lance dans ce qui sera la cause de tous les mensonges de la blonde :
« Rah, Manhattan et ce foutu parc. Pfiou, je sais pas toi mais je déteste chacunes des choses et… » il sourit, fait mine de réfléchir
« chacunes des personnes qui se trouvent sur cette maudite île ». Ils changent de sujet et pour Marloes, sous le charme de Ruben, c'était décidée, elle habitait le Queens.
pseudo/prénom : wood spoon/Pauline. ✜
âge : 16 ans. ✜
où as-tu connu le forum : hmm, je sais pas, je dirais que ça fait quelques semaines que je le regarde en silence
bravo Hanna
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te plait-il : et pas qu'un peu mon n'veu! ✜
temps de connexion : 4/7. ✜
ton personnage est-il un scénario : non, il vient tout droit de ma tête (le pauvre) ✜
un dernier mot : pfiou, en espérant qu'on s'éclate